Jean-Pierre Martinet
Tous les livres de Jean-Pierre Martinet
Prochaines parutions
- Nuits bleues calmes bières - suivi de L'Orage Poche (7 Février 2025)
- La Somnolence (7 Février 2025)
Obsédé par Polly, la jeune fille qu'il croit aimer, Jérôme Bauche se lance dans une quête hallucinée à travers une ville étrange, un peu Paris un peu Saint-Petersbourg. Tel Dante, il...
« Je pensais souvent à ce cinéaste japonais, Ozu, qui avait fait graver ces simples mots sur sa tombe : « Néant ». Moi aussi je me promenais avec une telle épitaphe, mais de mon vivant. »...
Une trentaine de lettres de l'écrivain Jean-Pierre Martinet, adressées à l'éditeur Alfred Eibel.
Au sommaire de ce n°1, des textes inédits de : Raymond Guérin Eugène Dabit Marc Bernard Jean-Pierre Martinet Michel Ohl Georges Hyvernaud R. L. Stevenson Georges Arnaud Capharnaüm est une...
A 76 ans, Martha Krühl, alcoolique, s'est réfugiée dans un monde imaginaire. Son compagnon l'a quittée sans un mot, il y a déjà bien longtemps. Premier roman.
Recueil d'entretiens (avec Jünger, Caillois, Roud), de critiques (sur Bernanos, Jaccottet, Dickinson, Rilke, Valéry...) et de comptes rendus de lecture (sur Michaux, Mann, Green, Capote, Pavese,...
Des personnages grotesques et désespérés, fuyant les horreurs du monde, partent à la dérive. Céleste se sent vaguement amoureuse mais sans savoir de qui ; Edwina Steiner, rescapée de...
Monologue désespéré d'un acteur sans travail. Suivi d'un portrait d'Henri Calet.
Jérôme Bauche, colosse de 42 ans, vit avec sa mère, refuse de se compromettre en travaillant pour la fabrique de fleurs en papier crépon de monsieur Cloret et aime plus que tout la jeune...
"La dernière fois que l'on avait sonné à sa porte, c'était pour lui apporter un télégramme annonçant sa mort. Il l'avait ouvert en tremblant, puis, en lisant le texte, il avait éclaté de...
" Je pensais souvent à ce cinéaste japonais, Ozu, qui avait fait graver ces simples mots sur sa tombe "Néant". Moi aussi je me promenais avec une telle épitaphe, mais de mon vivant. " Adolphe...
Dans une ville imaginaire écrasée de chaleur, quatre ombres murées dans leur absence arpentent les rues. Par l'auteur de«La Somnolence».