François Billetdoux
› Décès le 26 novembre 1991
Sept personnages différents monologuent dans la même situation : la solitude au moment du coucher. Les apprentis comédiens trouvent là des personnages à travailler.
La scène d'un vieux théâtre à l'italienne, guetté par les promoteurs. Sera-t-il démoli ? Ils étaient quatre amis, autrefois en ce théâtre, et ils se retrouvent.
Une lecture d'un monde merveilleux, une sorte d'allégorie du temps qui passe, un "poème-spectacle", comme l'a nommé l'auteur.
Une pièce créée le 7 octobre 1988, au Théâtre de la colline.
Entre le spectateur et lui, Billetdoux fait s'élever, à la façon d'un rideau de fumée, ce chatoiement de mots, ces monologues parfaits.
Pendant vingt ans, un homme, Mathieu, recherche la mère d'une enfant qui lui fut confiée en mai 1944 par une jeune femme fuyant les persécutions nazies. A bout d'espérance, il finira par tuer...
Rachel est poursuivie par une voix. Les oiseaux participeront à cette aventure. La musique du disque compact vendu avec le livre est de Jacques Cassard, les chansons sont interprétées par...
La pièce a été représentée pour la première fois à Paris le 26 janvier 1959 au Théâtre de poche Montparnasse et plus récemment en janvier 1984 au Théâtre Montparnasse à Paris.
Cette pièce fut créée le 13 juillet 1967 au cloître des Carmes dans le cadre du XXIe Festival d'Avignon.
La première pièce a commencé à être jouée le 17 mai 1955 au Théâtre de l'Oeuvre à Paris; la seconde pièce l'a été le 13 avril 1962 au Studio des Champs-Elysées à Paris.
Jouée en 1964 à l'Odéon-Théâtre de France, cette pièce est recréée au Théâtre de la Ville le 3 mars 1988.
Un apologue ambigu et généreux sur la difficulté d'être.
A partir d'un fait divers lu dans un grand quotidien : une épouse américaine, par la voie d'une petite annonce, met en vente son mari et en demande 30.000 $...