Christian Bobin
Tous les livres de Christian Bobin
Prochaines parutions
- L'autre visage (10 Janvier 2025)
- Le murmure (6 Mars 2025)
- Un livre inutile (18 Avril 2025)
- Carnet Bobin 2 (18 Septembre 2099)
Tout commence à Conques où l'auteur passe une nuit. Il reste fasciné par cette abbatiale du onzième siècle, dont les vitraux ont été réalisés par Pierre Soulages. Il croit voir ce que,...
Je me moque de la peinture. Je me moque de la musique. Je me moque de la poésie. Je me moque de tout ce qui appartient à un genre et lentement s'étiole dans cette appartenance. Il m'aura fallu...
Les livres sont des âmes, les librairies des points d'eau dans le désert du monde .
Parlant de sa ville natale, Christian Bobin fait exploser toutes les notions tristes d'appartenance, de racines, voire d'identité. Il dessine ses rues, ses maisons préférées, le ciel qui roule...
“Les livres sont des boîtes à musique remplies d’encre. J’ai voulu recueillir, juste avant qu’elles s’éteignent, quelques notes grêles, quelques airs de berceuse.” Sept rêveries...
L'écriture fragmentaire de La muraille de Chine s'inscrit dans la continuité de La Nuit du coeur (Gallimard, 2018), une muraille qui n'est autre que celle du langage que Christian Bobin combat...
Tout a commencé à Conques dans cet hôtel donnant sur l'abbatiale du XIe siècle, où l'auteur n'a fait que passer une nuit. Mais il a regardé comme personne et vu ce que, aveuglés par le souci...
«Le sourire est la seule preuve de notre passage sur Terre.»
« Écrire, c'est dessiner une porte sur un mur infranchissable, et puis l'ouvrir. »
Christian Bobin est un auteur rare. Il ne vit que d'écriture, dans sa maison au fond des bois. Pour la première fois, il livre un texte entièrement fait de lettres. Elles sont ici le lieu de...
« C'est si beau ta façon de revenir du passé, d'enlever une brique au mur du temps et de montrer par l'ouverture un sourire léger. » Hanté par le souvenir d'une femme qu'il a aimée,...
«Les palais de la grande vie se dressent près de nous. Ils sont habités par des rois, là par des mendiants. Thérèse de Lisieux et Marilyn Monroe. Marceline Desbordes-Valmore et Kierkegaard....
«Je m'égare un peu, ce livre ressemble de plus en plus à ce que ma mère me disait en me voyant sortir : tu ressembles à l'orage. Ce livre ressemble à l'orage, mais, somme toute, une promenade...
Il n'y a pas d'autre légèreté Nella que celle de ces gestes qui délivrent de la vie quotidienne sans façons sans se poser de questions comme on peut défaire des nouds de lacet doucement...