Léon Bloy
› Décès le 3 novembre 1917
Cette édition se propose de rétablir dans leur intégralité les lettres de Bloy aux Montchal, publiées une première fois en 1947 par Bollery sous le titre de Lettres aux Montchal, dans le...
Léon Bloy (1846-1917) ressemble à un prophète de l’Ancien Testament dénonçant les vices de la société qui l’entoure. Grand imprécateur, il ne cesse de lancer ses anathèmes contre la...
Les lettres de Léon Bloy à Véronique, qui en réalité s'appelait Anne-Marie Roulé ou Roullé, ou Roulet. Cette femme a joué un rôle central dans la vie de l?auteur et restera toujours une...
L'écrivain défend les oeuvres de J. Barbey d'Aurevilly, E. Hello et P. Verlaine, qu'il considère comme injustement décriées et méprisées par leur époque, et condamnées par l'Eglise...
En 1893, lorsque L. Bloy se penche sur la guerre de 1870, c'est pour créer des contes cruels et grotesques, mettant en scène des héros ordinaires, capables d'exploits. Si un sentiment...
Caïn Marchenoir est un trouble-fête, un exalté, qui permet à Bloy dans son premier roman de régler ses comptes avec le milieu littéraire de son temps.
Correspondance annotée de Léon Bloy adressée au jésuite Paul Jury durant la période 1894-1905. Elle permet notamment d'entrer dans le quotidien de l'auteur et de sa famille lors d'un séjour...
Construit en courts chapitres libres, l'ouvrage entrelace réflexions sur la guerre et noires pensées sur le destin humain.
Recueil des lettres échangées entre Léon Bloy et Johanne Molbech, fille du poète et critique littéraire Christian Knud Frederik Molbech, sa fiancée. Il témoigne de l'évolution de leur...
Caïn Marchenoir est un trouble-fête, un exalté, qui permet à son auteur de rendre des comptes au milieu littéraire de son époque.
En 1893, plus de vingt ans après les faits qu’ils relatent, Léon Bloy publie un premier recueil de trente contes (qui précède d’un an celui des Histoires désobligeantes), qu’il a donnés...
Sans aucun doute le livre le plus personnel de Léon Bloy, Le Sang du Pauvre est aussi celui dont la maturation fut la plus longue et la plus sourde. Ce sang du pauvre dont il est ici question...
Le point de départ de ces douze proses d’une férocité ardente, parachevées par un implacable épithalame était un commentaire des douze figures zodiacales gravées par le peintre Eugène...