Richard Brautigan
› Décès le 16 septembre 1984
Prochaines parutions
- Un privé à Babylone: nouvelle édition Poche (9 Janvier 2025)
- Tokyo montana express (31 Décembre 2099)
Ce roman parodie le western. Deux cow-boys de pacotille secourent une jeune fille désespérée par la disparition de son père et par les bruits étranges qu'elle entend dans le sous-sol de sa...
Témoignage d'une enfance achevée prématurément par une balle perdue.
Une promenade à travers des endroits déserts à la rencontre d'une humanité candide venue vivre et mourir sans histoires sous le ciel du Pacifique.
Ah, si Peau d'Âne se faisait sauter! L'érotisme léger est, ici, une tendre impertinence, et la parodie de Hemingway, du western et du roman gothique, moins importante que cette formidable...
Un homme se retrouve un matin dans un cimetière de San Francisco entouré de quatre hommes noirs avec des rasoirs. Sa mère l'accuse d'avoir tué son père à l'âge de 4 ans avec une balle en...
« Que veux-tu que je te dise ? Rien ne m'a plus touché que ton travail, si peu maniéré et si exact dans son insistante nudité. Tout le contraire d'une juxtaposition de paroles : bel et bien un...
Recueil de 62 textes brefs de R. Brautigan (1935-1984).
On trouve de tout à bord du Tokyo-Montana express, des restaurants où toutes les serveuses sont choisies par le patron et se ressemblent comme des sosies et d'autres où personne ne vient, un...
Dans ses trois premiers "romans", Brautigan met en fuite l'Amérique, son histoire, sa littérature, ses rêves informulés. Une traduction nouvelle s'attache à mettre en lumière les inventions...
Le dernier livre inédit de Richard Brautigan. Le récit bouleversant de la fin.
Les poèmes sont datés et forment une espèce de journal qui est comme un carnet de voyage témoignant des sentiments et des émotions qu'éprouve l'auteur à l'égard du Japon.
Un homme se trouve un matin dans un cimetière de San Francisco entouré de quatre Noirs avec des rasoirs. Sa mère l'accuse d'avoir tué son père à l'âge de 4 ans avec une balle en caoutchouc....
Dans ce recueil de courts poèmes, Brautigan se moque des formules toutes faites, des titres des journaux, de nous mais aussi de lui-même, pour mieux surprendre et émouvoir.
Aucun autre livre de Brautigan n’est aussi chargé du lyrisme des souvenirs d’enfance, ni aussi marqué de cette sereine fraîcheur, exempte de toute complaisance, dont il est toujours tant...