Giovanni Verga
› Décès le 27 janvier 1922
« Au village, on l'appelait la Louve parce qu'elle n'était jamais rassasiée - de rien. Les femmes se signaient quand elles la voyaient passer, seule comme une mauvaise chienne, avec cette allure...
Recueil de nouvelles sur les gens du peuple qu'affectionne G. Verga (1840-1922), des êtres frustes, façonnés par les dures réalités de la vie : la misère, la faim, la malaria, corruption, le...
Ce recueil de nouvelles explore la Sicile et ses habitants, des petits commerçants aux hommes d'église.
De cette nouvelle «Cavalleria rusticana», appartenant à un recueil publié en 1880, l'auteur reprendra le thème pour donner un drame en un acte du même nom, en 1884.
Une même obsession : celle de peindre la femme dans un clair-obscur de beauté et de mort.