Evelyn Waugh
› Décès le 10 avril 1966
Prochaines parutions
- Un puñado de polvo (7 Avril 2025)
Comment un grand grèbe huppé fait envoyer un gentilhomme campagnard anglais en Ismaël dans une ville qui n'existe pas, pour couvrir une guerre civile qui n'éclate pas. Il faut tout le talent du...
Une sereine et digne Lady saisie par la débauche. Son mari, un aristocrate bon ton, perdu dans la jungle amazonienne et condamné à lire à haute voix les oeuvres complètes de Dickens pour ne...
En octobre 1940, E. Waugh s'embarque pour l'Abyssinie afin d'assister, comme correspondant du Times, au couronnement de l'empereur Hailé Sélassié. Commence alors un périple de quatre mois, qui...
Une anthologie vigoureuse et drôle, où l'homme de lettres fougueux, catholique animé de la ferveur du converti, esthète, archi-conservateur et excentrique fabuleux, proclame son credo...
Gilbert Pinfold est un romancier entre deux âges, catholique converti, et célèbre qui prend des somnifères et qui boit. Son bonheur de vivre troublé par des inconnus, il décide de partir seul...
Une grande fresque sur les moeurs et l'art de vivre de l'aristocratie anglaise.
Qui connaît cet écrivain plus british que Kipling, Margaret Thatcher et Lewis Carroll réunis ne s'étonnera pas que la trilogie Hommes en armes - à laquelle La Capitulation vient mettre un...
Avec«Hommes en armes»commence la trilogie des Couchback, qui se poursuit avec«Officiers et Gentlemen». Le héros de ces romans est le type même de l'homme qui n'a plus sa place dans le monde...
Ce roman, irrésistible satire de l'Angleterre en guerre, choqua beaucoup l'Etablishment.
Evelyn Waugh, dont la plume n'épargnait personne, savait aussi manier l'autodérision. Tout au long de ces nouvelles - dramatiques et drôles l'auteur démontre une fois de plus sa maestria dans...
De ce roman où l'on voit Basil Seal (sans doute la créature préférée de Waugh) aider son ami Seth, empereur d'Anzanie, à instaurer un nouvel ordre dans ce pays d'Afrique où la sauvagerie le...
Evelyn Waugh détestait le téléphone. Son seul mode de communication fut la correspondance. Tout lui est matière à ironiser : sa demande en mariage, ses voyages, sa vie mondaine... Les 840...
L'auteur se moque dans ce recueil de tout ce qu'il aime : les moeurs de la gentry, ce climat d'amitié étudiante sempiternellement prolongé, propre aux anciens d'Oxford, et les lointains voyages...
Une satire des rites funéraires américains.