Le policier qui rit
Stockholm, 1967. Dans un quartier périphérique de la capitale suédoise, tard lors d’une soirée pluvieuse, neuf personnes ordinaires sont massacrées à l’arme à feu dans un bus de la ligne 47. Aucun mobile apparent, aucun indice sérieux. Il y a pourtant un détail surprenant dans cette sinistre affaire : L’une des victimes était un officier de police. Que faisait-il à cet endroit à cette heure, loin de son environnement habituel ? Le commissaire Martin Beck et son équipe se mettent au travail. Méthodiques, minutieux, obstinés. L’identification des victimes, puis l’étude attentive de leur passé, apportent peu à peu des pistes nouvelles. Et comme souvent, derrière la façade lisse des apparences, ce sont des réalités sordides qui émergent.