Méfiez-vous des blancs, habitants du rivage !
« Quel que soit l'intérêt qu'on porte à la conjoncture étroitement nationale du mouvement des gilets jaunes, tout comme à l'obstination méprisante du pouvoir en place, nous devons tenir ferme sur la conviction qu'aujourd'hui, tout ce qui importe vraiment est que notre patrie est le monde. Ce qui nous ramène aux dénommés "migrants.
Il faut agir, bien évidemment, pour ne plus tolérer les noyades et les arrestations et la mise à l'écart pour des raisons de provenance ou de statut. Mais au-delà, il faut savoir qu'il n'y a de politique contemporaine qu'avec ceux qui, venus chez nous, y représentent l'universel prolétariat nomade. En convoquant les textes philosophiques et politiques, mais aussi les poèmes, je voudrais examiner l'état actuel de cette cause et explorer la direction de ce que le poète nomme l'éthique du vivre monde et que je nomme, moi, le nouveau communisme. » A.B.