Le Saint et les faussaires
Rien ne stimule les sentiments chevaleresques de marchand de tableau, Cyril Pargit, l'a dépouillée de sa fortune, Simon décide d'aller à la Galerie Leonardo glaner les moyens d'obliger Pargit à rendre gorge.
Et le hasard le sert puisqu'il rencontre là Julie Norcombe, dont le frère Adrian, peintre et restaurateur de tableau, vient d'être arrêté pour espionnage, a-t-elle appris par un certain Mr. Fawkes... qui est le sosie de Pargit.
Ce fait ouvre des perspectives stupéfiantes pour la naïve Julie mais on ne peut plus favorables aux desseins de Simon qui flaire un trafic d'oeuvres d'art et qui se lance avec audace à la traverse des projets du gang Pargit-Caffin. Après Londres, Philadelphie : Simon voudra-t-il aider l'inspecteur Stacey à découvrir qui est le Supremo dont le gang terrorise la ville ? Que le Saint hésite serait légitime, après tout, car le Supremo est un adversaire impitoyable. Simon pourrait préférer aux dangers de cette enquête les joies du flirt avec Carole Angelworth, la fille du philanthrope le plus estimé de la ville, mais le Saint n'est pas un lâcheur et d'ailleurs y-a-t-il une telle incompatibilité entre la chasse aux bandits et les sorties avec l'héritière amoureuse ? Les deux ont d'étranges points communs.