Si encore l'amour durait, je dis pas

Ce week-end, Fanny Carbonara fête ses vingt-cinq ans. Un prétexte pour se métamorphoser... ou persister dans son mode de vie. Un mode, un monde autour duquel gravitent les figures de la fête, amis, amour, alcool... et dans lequel l'illusion s'accorde à merveille avec une lucidité sans concession. D'exaltation en déliquescence, de troubles en convictions, les extrémités que frôlent Fanny sont souvent ténues. Avec un humour perçant, des métaphores jubilatoires, l'auteur nous transporte dans un univers qui lui ressemblent : envoûtant, brillant, délicieusement attachant.