Cancionero español
Toi le ciel infiniment/ Et moi les étoiles une à une/ Moi relatif de l'attente/ / Il n'y a pas de chanson sans un refrain à la clé, pas/ De musique sans fumée et pas de poussière sans ces/ Yeux qu'on veut nous arracher à force de justice!/ / [...] / / Donnez-moi une bête/ Et je la fertiliserai de ma propre semence !/ Tu es fou, Ochoa! Tu es fou!/ / Je le suis. Pourquoi le nier ? Je reconnais aussi le délire./ Il faudrait être fou pour penser le contraire. Ce mal qui/ Ne me ronge pas, qui m'explique sans me ronger les os,/ / Ce mal est si nécessaire que je n'en connais pas l'origine./ Parlez-en au Roi qui comprendra. Un oranger pour vous/ Seul, oui. L'Escorial. Lui-même. Une seconde d'inattention/ / Et c'est l'aventure. Un facteur chance est à prendre en/ Considération. Et ce mal qui vous transporte au seuil de/ L'amour. Un instant à la place de l'éternité ! Vous plaisantez ?