Desports 1
« Non un magazine de sport, mais le magazine des sports », la formule est d'Henry Luce, le fondateur de Sport Illustrated, de Life et du Times. Définition du vieux mot français « desport » : « divertissement, plaisir physique ou de l'esprit », autant les jeux du corps que ceux de l'esprit. Le magazine DESPORTS garde cette dimension « jeux » : des échecs au tennis.
Le magazine DESPORTS sera entre Life pour la photo, Sport Illustrated pour le détail d'almanach, le New Yorker pour le grand reportage, et l'ensemble s'inscrira dans la grande tradition française de la littérature sportive d'Antoine Blondin à Jean Hatzfeld. Le format et le grand soin de fabrication (plus « livre » que Feuilleton) le positionnent davantage comme un livre cadeau, un petit beau livre cartonné, « le livre du sport ».
288 pages, une précision de « miscellanées », un cahier central à l'aspect « rétro » et une couverture « matière » totalement singulière : un « petit beau livre ».