L'arsenal du diable
Mercredi 18 mai : une lettre anonyme est remise au commandant Roland Grillet de la DGSI. Elle annonce l'imminence d'un attentat à Paris, préparé par le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest. Une course contre la montre commence. L'enquête s'oriente rapidement vers le trafic international d'oeuvres d'art, troisième source de revenus des terroristes. De la région nantaise au Maroc en passant par Panamá, Grillet va découvrir une filière de copistes géniaux, de troubles commanditaires, et la figure d'un grand businessman de l'art qui, à trop fricoter avec les jihadistes, essaie maintenant de se dépêtrer de l'enfer. Pour démêler le vrai du faux, il dispose d'une arme fatale : le « rêve lucide », ou le pouvoir d'orienter ses rêves à sa guise.