Le hasard vaincu: Un génie du mal ?
En 1941, au 21 rue le Sueur à Paris, s'installe le docteur Marcel Petiot. Il deviendra célèbre pour le traitement définitif qu'il procurera à ses victimes dans son cabinet. Lors de son procès, le docteur du Diable reconnaîtra 63 meurtres. Il proposait des voyages clandestins en Argentine à des personnes craignant d'être poursuivies par la Gestapo. Ces dernières finissaient au fond d'une cuve d'acide. Lors de sa détention en prison, en attendant la fin de son procès et la guillotine, Marcel Petiot a écrit un livre de martingale. C'est sa dernière trace écrite et il n'est pas interdit de croire que dans cette suite de chiffres et de codes se trouvent des indices au sujet de la cachette du "trésor du Diable" - l'argent et l'or des victimes - qui n'a jamais été retrouvé et qui est estimé aujourd'hui à un peu plus de 50 millions d'euros. Fac-similé du manuscrit écrit de la main du docteur Petiot.