Le retour d'Arsène Lupin
Dans les fastes de la Belle Époque, à travers une intrigue riche en rebondissements, Frédéric Lenormand nous offre un Arsène Lupin ivre d'astuce et de rouerie.
Présentation de l'éditeur
1908. Arsène Lupin a entamé une thérapie pour soigner son addiction au cambriolage. Hélas pour lui, son médecin exige qu'il cesse de voler pendant toute la durée de la cure. Le voilà contraint de trouver un moyen honnête de payer les séances dont il espère sa guérison. Pour cela, il ouvre une agence de détectives, l'agence Barnett. Sa première cliente, la très riche Mme Bovaroff, se plaint qu'on lui a dérobé un inestimable autoportrait de Delacroix, L'Homme au gilet vert. Suprise ! Voilà que l'oeuvre réapparaît comme par magie sur le mur d'où elle avait disparu, tandis que tous ceux qui l'ont eue entre les mains sont assassinés les uns après les autres.
On rencontre au milieu de tout cela une ensorcelante danseuse orientale nommée Mata Hari, dont le charme sera l'un des obstacles les plus dangereux que Lupin-Barnett aura à surmonter.