Cette fille-là
" La romancière algérienne Maïssa Bey a su imposer sa voix dans la très masculine bibliothèque des littératures du Maghreb. [...] En poursuivant son travail de mémoire, elle impose peu à peu son nom et ses murmures comme autant de petites touches d'humanité, de bouteilles adressées à la mer du silence, comme autant de paroles pour vaincre les non-dits. " (Bernard Magnier, RFI.)
" Le roman débute sur des phrases courtes, hachées, furieuses et comme tombées d'une bouche hors d'haleine, après une longue course ou une fuite éperdue. Maïssa Bey a, est la rage au cœur. "
(Ghislain Cotton, Le Vif-L'Express.)
" Maïssa Bey poursuit, avec Cette fille-là, l'histoire intime et politique des femmes algériennes. Peu d'écrivains algériens ont réussi à raconter ces femmes du peuple, oubliées par la Révolution, l'Indépendance, l'Algérie elle-même. C'est la colère qui la fait écrire. Une colère salutaire. " (Leïla Sebbar, Le Magazine littéraire.)
" La beauté d'une plume qui n'a pas fini de moduler le chant de désespoir d'une Méditerranée du Sud où il ne fait pas toujours bon être une femme. " (Fawzia Zouari, Jeune Afrique l'Intelligent.)