Ainsi advint la nouvelle vie de S

« Ce qu'il advint de la nouvelle vie de S » apparaît comme un écrit « philosophique », sans autre prétention que celle de plaire, de distraire, sans oublier d'ouvrir à la réflexion avec des interrogations laissées en suspens, afin que le lecteur trouve cet espace de liberté pour se l'approprier comme il lui sied et de décider de ce qu'il advint de S.
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Dans cet ouvrage, Françoise Naud prend le rôle d'un photographe. Son regard s'est porté sur un temps dans la vie de sept femmes, des arrêts sur image de différentes S prises au piège de leur désir. Telles des poupées russes, chacune de ces femmes contient en elle toutes les femmes, la fille, la mère, la grand-mère, l'épouse, la maîtresse. C'est un véritable kaléidoscope qui s'offre à nous. Sept prises de vue et autant de facettes soumises au regard de l'homme, un regard voilé par son propre désir.