Sisyphe est une femme. La Marche du cavalier
Si les femmes sont des sorcières, c'est pour manifester leur mépris de la vie ordinaire.
Présentation de l'éditeur
« Comment dire mieux ce travail de Sisyphe : remettre à l'honneur ces grandes écrivaines, nos aînées, celles à qui nous devons la force et le courage d'écrire ce que nous voyons, ce que nous sentons, ce que nous savons, et qui, décennie après décennie, sont renvoyées à leurs ténèbres, oubliées, effacées encore et encore. Celles à qui nous devons la force et le courage de décrire ce recoin de perplexité où rien n'est majestueux ni symbolique, mais où tout est important, les soupirs, les rhumes, les agonies, les bains de mer ». Dans la nouvelle édition, révisée et augmentée, de La Marche du cavalier, Geneviève Brisac explore les oeuvres de Christiane Rochefort, Doris Lessing, Natalia Ginzburg, Vivian Gornick... Un regard singulier sur les femmes et l'écriture, une invitation à lire autrement.