Qushmarrah : Le prix de la liberté
Un nouvel ouvrage de fantasy par l'auteur de "La Compagnie noire". Qushmarrah n'est pas sans évoquer quelque fantasmagorique guerre Punique dans laquelle Qushmarrah jouerait le rôle de Carthage et Hérod celui de Rome. D'une Rome cruelle, dominatrice et impérialiste. Car le sujet est cette ville conquise par trahison et occupée depuis six ans par les Hérodiens, une ville résistante, hantée par le retour possible de son maître assassiné, Nakar, prêtre-sorcier de l'ancien dieu sanguinaire de Qushmarrah. Une ville aux nerfs portés à vif par les enlèvements réguliers d'enfants de six ans, mais une ville qui cherche aussi à mener de nouveau une vie normale. De multiples factions illustrent magistralement les ambiguïtés et les dérapages qui attentent toute résistance. Guerriers nomades, cohortes de soldatesque, tueurs fous, kidnappeurs, rebelles, résistants, corsaires et pirates s'affrontent, se trahissent et s'entre-tuent à qui mieux mieux, dans un récit échevelé. Traduit de l'américain.