L'aurore occidentale
Poursuivant la publication de son séminaire alchimique (1969-1973), Etienne Perrot fait paraître une série de libres méditations sur le traité alchimique attribué à Thomas d'Aquin, Le Lever de l'Aurore, redécouvert par C.G. Jung et Marie-Louise von Franz et édité, avec un commentaire psychologique, à La Fontaine de Pierre. Prenant pour tremplin les affirmations du vieil adepte, les méditations de Perrot donnent la plus large place à l'expérience personnelle. L'auteur, dont la "bouche a été ouverte" par la lecture du traité ancien, ainsi qu'il le confesse dans sa préface, se place à la suite de Marie-Louise von Franz pour perpétuer l'éloge de la Sagesse alchimique et de sa "vérité libératrice". L'ouvrage reproduit également la traduction du traité attribué à Thomas d'Aquin.