La littérature est mauvaise fille
La littérature est mauvaise fille. Farouche, elle a de ces retours de flamme que les auteurs les plus aguerris n’encaissent pas toujours.
Les dégâts sont conséquents : que reste-t-il aujourd’hui des écrits de Charles Monselet et de François Valorbe ? Où lire Charles de Coynard et Léo Lespès ? Comment aborder simplement les œuvres de Jean Richepin, de Remy de Gourmont ou d’Isabelle Eberhardt ?
Pour découvrir et s’imprégner des mystères de Charles Fegdal, André Paysan, Alexandre Mercereau, Gabriel de Lautrec, Pierre Coutras, Fernand Fleuret, Joseph Méry ou bien Théo Varlet, encore fallait-il résister à leur effacement en proposant aux lecteurs quelques-unes de leurs meilleures pages.
Leurs singulières imaginations et la richesse de leurs inventions s’y révèlent des plus éloquentes.
Issues des soutes de notre patrimoine, quatorze figures littéraires, quatorze nouvelles increvables.