Terminus Elicius
Marseille-Istres et retour. Trajet ferroviaire quotidien pour Jeanne, qui berce ainsi sa souffrance dans une routine aussi chronométrée que les rames de cette ligne de la Côte Bleue. Son travail au commissariat, le bonjour journalier du capitaine Esposito… Pas d’imprévus, pas de surprises.
Sauf…
“J’aime à savoir que vous lisez mes mots (…) Vous êtes si belle, Jeanne. Si touchante et si belle (…) Ne m’oubliez pas. Dans votre cœur, je continuerai d’exister. Et c’est le plus bel endroit pour exister. À bientôt, mon amour…”
Elicius
Aimée d’un dieu, elle, simple mortelle !
Mais, entre son admiration pour Esposito et les foudres jupitériennes, Jeanne devra choisir… Et s’embarquer pour un voyage au delà des frontières du bien et du mal. Un voyage au bout d’elle-même.
Un voyage parsemé de morts.
Un voyage sans retour…