Ecueils. Opus deuxième
Lili, Archy, Cherry, Anders, Nono...
Cinq nouveaux inscrits à l’école de la vie... et par-là même, à celle de la mort aussi...
Rassurez-vous, cet opus est bien plus gentillet que son prédécesseur. Hé oui... Le pourcentage de décès a accusé malgré l’auteur – et cela risque d’en chagriner quelques-uns – une légère diminution...
Disons... d’à peu près... 25%. Navré.
Certes moins de cadavres, mais... plus de déceptions... Le tout baigné dans une harmonieuse dérision :
L’ironie du sort.
Pourquoi essayer d’avancer plus vite que le destin ne le permet ? Pourquoi aller chercher trop loin ce que l’on a à ses côtés ? Pourquoi s’attacher encore aux liens qui s’effilochent et sont condamnés à céder ?
Par amour ? Par égoïsme ? Par stupidité ?
Manifestement les trois mon Capitaine, panachés en un élixir de sénescence dont la fiole serait matinée d’un peu de bonne volonté volée et de beaucoup de peine perdue...
Lecture déconseillée aux âmes en perdition.