La fleur rouge

V. Garchine visita à la fin du XIXe siècle de nombreux asiles et connut lui-même plusieurs accès de maladie mentale. En 1883, il publie cette nouvelle qui met en scène un homme vivant dans l'obsession de vaincre le mal auquel il pense être lié par le destin. Echappant à la vigilance de ses gardes, il dérobe dans le jardin de l'asile trois fleurs de pavot qu'il emporte comme un trophée.