Dylan Stark, T2 : Le Vent de la colère
« Un remarquable texte qui possède toutes les qualités d'un grand film. » Nice Matin « Un texte captivant en abordant des thèmes aussi importants que la guerre, la paix, le racisme, la liberté... » Le Républicain Lorrain « Dylan Stark, Pawhuska et les autres, tous ceux qui sont nés et naîtront sous la plume de Pelot, il vous faudra apprendre à les connaître... Parce que, quand vous aurez lu un Dylan Stark, forcément, il vous en restera quelque chose... » Sud-Ouest Le vent de la colère souffle sur le Grand Ouest américain. Un western implacable, une magnifique dénonciation du racisme.
1865, Missouri. La guerre de Sécession s'achève. Dylan Stark, le métis, le Cherokee, capitaine destitué de l'armée confédérée, enfin libre, entre avec les Yankees dans la ville de Vulcan. Sa petite compagnie de soldats nordistes est chargée de pacifier l'État, ce qui n'est pas une mince affaire au coeur de cette région du Sud...
Le vent de la colère souffle sur le Sud. La rancoeur des vaincus et les règlements de compte déchirent les habitants.
Écoeuré par l'injustice et les exactions des guérilleros, Dylan Stark se range aux côtés des victimes, des faibles et des anciens esclaves fraîchement libérés. Il saisira toute l'ampleur de la difficulté qu'il y a à réapprendre à vivre en paix.
« Pierre Pelot est un authentique rêveur. Nous savions, il est vrai, que le Far-West n'a pas de frontières. » Le Figaro Littéraire « Pierre Pelot trempe sa plume dans du bourbon et tue les mouches au colt. [...] Ses récits ont le souffle des grands espaces. » Pilote « Pierre Pelot a construit autour du personnage généreux de Dylan Stark, à travers qui il symbolise l'Ouest et la prairie, le jeu infatigable des Indiens et des cow-boys. » Le Magazine Littéraire « Certainement le plus beau roman de Pierre Pelot, spécialiste du genre, situé à la fin de la guerre de Sécession dans une ville du Sud où s'affrontent des passions dont l'auteur nous montre la complexité historique dans un récit d'une grande valeur morale et littéraire. » La Vie Ouvrière « Un livre-western de haut choix bien dans le cadre de l'après-guerre de Sécession. » Le Matin « Dès que vous en aurez commencé la lecture, vous ne vous arrêterez plus. Tous les personnages sont d'une vérité telle que lorsque vous refermerez le livre, ils resteront quelque temps en vous. Un beau livre vraiment. » L'École des parents « Un très grand écrivain, à la plume forte, virile, énergique et tendre à la fois ; un amoureux de cet Ouest américain que l'injustice et le racisme révoltent, que le marginal généreux et toujours en quête séduit. » Actual « Un bon roman, rude, solide. » La Vie Catholique Le mot de l'auteur :
Quand je pense à l'Ouest, quand me viennent aux yeux des images de roches et d'arbres, quand me coule aux oreilles la chanson des cours d'eaux, alors je vois un homme.
Cet homme-là, c'est l'Ouest.
Je ne le décrirai pas. Je ne dirai pas non plus : « Il était courageux, c'était un héros, etc. » Car j'ai en horreur ce terme idiot. Car aussi on n'est pas courageux. Le courage, je crois, est une chose qui va et vient au hasard des situations ; à certains moments il est là, à d'autres c'est la peur.
L'homme dont je parle eut peur, et il lui arriva d'être également courageux.
Je vais donc raconter cette vie d'homme. Évidemment, il y a énormément de choses à dire à propos de cet homme durant le temps qu'il fut debout. Puis, un jour, il est mort...
Il est mort, et l'Ouest avait agonisé doucement, un peu avant. Mais ce n'est pas une chose triste.
Je vais raconter la vie de cet homme parce que je la trouve belle, et grande, parce qu'elle ne suivit pas la piste commune.
Cet homme avait pour nom Dylan Stark.
Il est toujours mon ami.
Pierre Pelot