Jack l'éventreur démasqué : L'enquête définitive
Londres, nuit du 31 août 1888, quartier de Whitechapel.
Un sifflet strident déchire la nuit. Le corps d'une femme, une prostituée, Mary Ann Nichols, gît dans une mare de sang. Égorgée, mutilée... Jack l'Éventreur vient de frapper.
Depuis plus d'un siècle, toutes les pistes ont été suivies pour tenter de mettre un nom sur Jack, un visage. Toutes les pistes ? Non !
Un haut responsable de Scotland Yard déclarait « L'affaire est une patate très chaude », tandis qu'un autre affirmait : « Si j'avais révélé le nom du coupable, cela aurait nui à la réputation de la police. » Après vingt années d'enquête, Sophie Herfort dévoile plus de trente preuves accablantes contre un individu jamais soupçonné : un inspecteur chassé de la police par Charles Warren, trois jours avant le premier crime de l'Éventreur. Ce même homme réintégrera Scotland Yard neuf mois après les crimes de Jack... mais finira par quitter le service après quelques années pour troubles psychiatriques.
Ces éléments troublants ne sont qu'un échantillon des faits qui désignent un seul et même homme : un membre de la haute société britannique qui, dans ses Mémoires, se souvenait avec bonheur de ses chasses au chacal dans les plaines du Bengale. Chacal s'écrit « Jackal » en anglais ; mais notre homme s'est contenté de coucher sur papier « Jack »...