Moi, ce que j'aime, c'est les monstres - Edition limitée

Édition limitée
L'édition « Créature » de l'extraordinaire Moi, ce que j'aime, c'est les monstres n'a été imprimée qu'à 3 333 exemplaires. Chaque exemplaire a été patiemment numéroté à la main, le rendant unique.

Le papier intérieur Pour ce tirage si spécial nous avons choisi de l'Arctic Volume White de 130 g (contrairement au tirage courant qui est sur de l'offset 120 g) qui allie les qualités d'impression parfaite du papier couché et le touché de l'offset.

La reliure
Pour donner une autre dimension à un livre, rien de tel qu'une reliure parfaite : un cartonnage solide (3 mm) recouvert d'une toile tissée avec une base de papier sans chlore.

La Jaquette
Nous avons longtemps réfléchi, avec Emil Ferris, à comment donner au livre une autre couverture, un autre sens.

Les finitions
Le livre est équipé d'un signet et d'une tranchefile, ses tranches ont été peintes.

Les plus
Outre la jaquette inédite inspiré d'un tableau de François-Émile Ehrmann et de deux sérigraphies inédites, deux histoires apocryphes sous forme de livrets ont été glissés dans l'ouvrage.
Chicago, fin des années 1960. Karen Reyes, dix ans, adore les fantômes, les vampires et autres morts-vivants. Elle s'imagine même être un loup-garou: plus facile, ici, d'être un monstre que d'être une femme. Le jour de la Saint-Valentin, sa voisine, la belle Anka Silverberg, se suicide d'une balle dans le coeur. Mais Karen n'y croit pas et décide d'élucider ce mystère. Elle va vite découvrir qu'entre le passé d'Anka dans l'Allemagne nazie, son propre quartier prêt à s'embraser et les secrets tapis dans l'ombre de son quotidien, les monstres, bons ou mauvais, sont des êtres comme les autres, ambigus, torturés et fascinants.
Journal intime d'une artiste prodige, Moi, ce que j'aime, c'est les monstres est un kaléidoscope brillant d'énergie et d'émotions, l'histoire magnifiquement contée d'une fascinante enfant. Dans cette oeuvre magistrale, tout à la fois enquête, drame familial et témoignage historique, Emil Ferris tisse un lien infiniment personnel entre un expressionnisme féroce, les hachures d'un Crumb et l'univers de Maurice Sendak.