1793
1793. Le vent de la Révolution française souffle sur les monarchies du nord. Un an après la mort du roi Gustav III de Suède, la tension est palpable. Rumeurs de conspirations, paranoïa, le pays est en effervescence. C'est dans cette atmosphère irrespirable que Jean Michael Cardell, un vétéran de la guerre russo-suédoise, découvre dans un lac de Stockholm le corps mutilé d'un inconnu. L'enquête est confiée à Cecil Winge, un homme de loi tuberculeux. Celui-ci va bientôt devoir affronter le mal et la corruption qui règnent à tous les échelons de la société suédoise, pour mettre au jour une sombre et terrible réalité.
Puissant, noir et fiévreux, 1793 évoque les univers de James Ellroy, de Tim Willocks et d'Umberto Eco. En tête des ventes dès sa sortie en Suède, célébré par une critique dithyrambique dans plus de trente pays, c'est un coup de maître. On n'a pas fini d'en entendre parler.
La presse en parle
« 1793 » nous embarque dans les bas-fonds de la capitale suédoise à la fin de XVIIIe siècle. Corruption, pauvreté extrême, violence : c’est la loi du plus fort. L’écriture ultra-détaillée, quasi-naturaliste, nous embarque immédiatement, sans nous lâcher. Les odeurs de sang, de poudre de canon, les cris. Les visages tristes, sales, marqués par la vie. C’est noir, fiévreux et puissant. Au point de le ressentir physiquement. Un premier roman coup de poing. Un auteur à suivre.
Le Parisien