Jours barbares - Une vie de surf
Bien plus qu'un sport, le surf est un art de vivre. D'Hawaï à la Californie, William Finnegan grandit entre le paradis et l'enfer des vagues. Gamin aventureux, il devient écrivain, reporter de guerre et traque les spots aux quatre coins du globe. De l'océan il fait son échappatoire et une source d'émerveillement, loin des vanités du monde. Une inoubliable ode à l'enfance, à l'amitié et à la famille.
La presse en parle
Editorialiste et reporter au New Yorker depuis trente ans, William Finnegan mène en réalité une double vie : dès que possible, il quitte son bureau de Manhattan et file vers les plages de Long Island pour s’adonner au surf, sa passion depuis l’enfance. Dans Jours barbares, ses envoûtants Mémoires, il revient sur son enfance, son adolescence à Hawaï et en Californie, sur les mille voyages en Australie, en Indonésie, aux îles Fidji… qu’a guidés son obsession pour la glisse. Il explique surtout le fantasme de « vivre comme des barbares de la fin des temps » que continue de sous-tendre cette inlassable « chasse aux vagues ». Limpide, éblouissante, la phrase de Finnegan est celle d’un authentique écrivain.
Nathalie Crom, Télérama