Alain Fleischer
Prochaines parutions
- Aller-retour dans la langue que parlait mon père (21 Mars 2025)
Dans cet essai brillant, Alain Fleischer nous livre sa lecture de l'un des écrivains français les plus sulfureux. Comme il est cinéaste, Fleischer imagine un scénario possible de la vie du...
Ce panorama de la création artistique depuis les années 1980 prend comme fil conducteur l'invention de l'école d'art du Fresnoy-studio national des arts contemporains. Ce journal de souvenirs...
Recueil de nouvelles dans lesquelles sont décrites des conférences qui tournent mal, marquées par la fatalité d'un passage du sérieux au risible.
Des explications pour comprendre les sept réalisations de l'artiste Y. Kersalé réalisées en Bretagne à l'espace EDF Récamier.
Tous les personnages de ces fictions sont soumis au monde réel mais paradoxal des collectionneurs qui sont sous l'emprise de ce qu'ils possèdent ou de ce par quoi ils sont possédés.
Lecture du tableau La mort des enfants de Béthel (1653) exposé au musée des beaux-arts d'Arras, qui évoque notre temporalité. Le second rabat de couverture permet de lire l'interprétation...
" Si j'avais choisi le mode de l'interpellation, ce livre serait une adresse à Jean-Luc Godard. Mais il y aurait quelque naïveté à attendre de sa part une réponse à ma réponse. Ce...
De l'île perdue au paquebot Richelieu, de Lille au Mékong, au fond des quartiers ou en haut des gratte-ciels, A. Fleischer explore les mots, les images, les désirs et les imaginaires, les lieux...
Contributions sur le thème de la littérature érotique du point de vue de la traduction. .
Analyse picturale et plastique du dernier tableau de Gauguin contenant des éléments biographiques.
En revisitant le cauchemar du passé européen, ce roman offre la clé des intrinsèques contrefaçons du monde contemporain.
Le roman commence en Bohême, sorte de retour à des lieux d'origine, avec l'arrivée du narrateur dans une petite ville où il croise une belle jeune fille. Il y aura d'autres realais, d'autres...
En faisant sien le prénom hongrois qu'il aurait dû porter, l'auteur reconnaît en lui-même la survie de son oncle Sandor mort en 1944. Les souvenirs de vingt-sept ans d'existence dont il nourrit...