Roger Vailland
› Décès le 12 mai 1965
Publié en 1953, Laclos par lui-même est un essai littéraire comme Vailland savait si bien les faire (Eloge du cardinal de Bernis, Cahiers rouges). En relevant les points communs qui existent...
De l'âge de vingt ans jusqu'à sa mort, à cinquante-huit ans, Roger Vailland n'a jamais cessé d'être journaliste. Même si cette activité diminue considérablement après 1957, quand, en...
Roger Vailland est un plaisant voyageur. Aux ruines, aux musées, aux statues, il a toujours préféré les alcools forts et les belles de nuit. Sur l'île de la Réunion, il traque le plaisir, le...
Roger Vailland a écrit le Saint Empire en 1950, lors de sa période d'engagement politique actif qui donnera naissance à des ouvrages aussi célèbres que 325 000 francs ou Beau masque. Tout...
Recueil d'articles parus au début des années 1960 dans le journal estudiantin communiste Le Nouveau clarté. L'auteur, qui fréquente l'atelier de P. Soulages et lui donne la parole, analyse...
Ce texte, paru le 26 novembre 1964 dans«le Nouvel Observateur», est le dernier article de Roger Vailland, son testament politique, a-t-on dit parfois. Huit ans auparavant, il s'était retiré de...
Ce bref essai fut écrit au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Il cherche à définir ce qu'on pourrait appeler l'esprit français et la singularité de la nation française.
Retranchés dans une maison du Jura, Milan, décorateur parisien, et sa femme, Roberte, jadis si libertins, se haïssent de s'être trop aimés... Ce second roman de Vailland fut publié pour la...
Roman découpé en cinq journées au cours desquelles Marat, le narrateur, s'engage dans une réflexion sur l'avant-guerre, l'illusion communiste, ses jeux de séduction et l'engagement au...
Roger Vailland part pour l'Indonésie en décembre 1950, un an après la proclamation de l'indépendance nationale de ce pays. De Djakarta à Den Passar, le regard froid de ce libertin amoureux du...
L'auteur réunit plusieurs de ses textes dans lesquels il rend un hommage à Choderlos de Laclos et Casanova. Il évoque le Cardinal de Bernis dans lequel il reconnaît du Julien Sorel, et du comte...
325 000 francs, c'est la somme que doit se procurer Bernard Busard pour obtenir la gérance d'un snack-bar et ainsi pouvoir épouser la jeune fille qu'il aime, Marie-Jeanne, qui refuse de se marier...